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 Kevin Crowley (fini)

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Kevin Crowley
Kevin Crowley
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Date d'inscription : 06/01/2016

Dossier de l'Agent
Age/Date de Naissance: 8 ans 19 Juillet
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MessageSujet: Kevin Crowley (fini)   Kevin Crowley (fini) EmptyMer 6 Jan - 18:33

Crowley Kevin
Informations générales

   Nom : Crowley
   Prénom : Kevin
   Age d’arrivée à CHERUB : 7 ans
   Date Naissance : 19 Juillet
   Age au temps de cette fiche : 8 ans
   Pourquoi il a attiré l’attention de CHERUB ? aptitude à l'analyse comportementale, intelligence supérieure et capacité à la cacher, très forte résistance à la douleur.
   Langues étrangères : ( Allemand - Russe )
   Avatar :Amano Yukiteru (Mirai Nikki)
Son physique
Robin Appelcott était un petit garçon chétif, en arrivant à CHERUB, chétif mais pas du tout maladif. Même si son gabarit était très en dessous de la moyenne pour son âge, il avait un corps endurant, résistant, habitué à la douleur. Depuis treize mois qu'il est arrivé sur le campus, on lui a fait suivre un régime draconien, digne d'un athlète olympique en pleine préparation, par ordre du docteur, très inquiet de ses mensurations.
Il lui faudra déployer des trésors de persuasion, et une analyse extrêmement fine du "rôle social" qu'il s'est choisi, au cours d'une réunion avec la directrice et la psychologue de CHERUB (réunion enregistrée à son insu et visionnée par les membres du comité d'éthique) pour obtenir qu'on ne le gave pas comme un poulet afin de faire de lui un garçon "normal" : il a obtenu l'autorisation de ne pas se sur-alimenter pour rattraper les constantes d'un garçon de son âge tant qu'il réussira les épreuves physiques et sportive imposées honorablement, et sans pénaliser ses camarades.

Pour l'apparence physique, Kevin est un petit brun aux yeux noisettes, assez frêle d'aspect. Les cheveux, qu'il porte mi-longs et désordonnés, lui font une frange irrégulière qui lui permet de dissimuler son regard, dont il sait qu'il peut trahir son intelligence. Il fait tout de même en sorte qu'elle ne soit pas trop fournie, afin qu'un léger coup de tête vers l'arrière, généralement accompagné d'un regard faussement apeuré, puisse dévoiler ses cicatrices au visage. La plus importante est celle qui orne le haut de son front, juste à la racine des cheveux, mais il en porte plusieurs autres, autour des yeux et de la bouche. Son nez, cassé en deux endroit, est légèrement décentré, ce qui, avec les marques que portent ses lèvres, donne un air étrange à ses rares sourires.

Quand au côté social, Kevin est tout, sauf un Mode Addict, il porte ses vêtements de manière négligée, se conformant au port de l'uniforme plus par simplification que par conviction. Il se moque de se promener débraillé, chiffonné, voir taché. Il n'a aucune attirance pour les fringues de marque que les camarades de son âge s'arrachent. Il fera cependant preuve de respect des convenances lors d'occasions officielles.

Dernier petit détail, Kevin est affublé d'un zézaiement des plus attendrissant (bien qu'il soit capable de parler normalement, en faisant un petit effort de concentration, mais ... ça lui semble tellement ... dans le ton !)
Son caractère
Pour le dire simplement, Robin ... pardon, Kevin, est intelligent et manipulateur. Avoir passé toute sa petite enfance à être un enfant battu par des hommes qu'il connaissait à peine sous les yeux d'une mère qui ne s'en souciait que peu lui a forgé un caractère dissimulateur qui aurait pu tourner à la fourberie s'il n’avait pas été assez intelligent pour en voir l’absence d’intérêt. Il apprit très vite à comprendre ce que les gens voulaient, comment et pourquoi ils agissaient d'une certaine façon, et quel avantage il pouvait tirer de cette connaissance.
Il remarqua très vite que pour survivre dans le monde tordu qui était le sien, il allait devoir endosser un "rôle social" et s'y conformer absolument. Il ne lui fallut pas longtemps non plus pour trouver sa "niche vitale", une position qu'il allait pouvoir remplir, sans risque qu'on cherche à l'en évincer. Il en avait les capacités physiques, survivre jusqu'à maintenant en était la preuve. c'est ainsi qu'à l'âge de six ans, il endossa le rôle si peu convoité de "souffre douleur". Il en tirait deux principales gratifications.  La première, qu'il considérait lui même comme risible, lui permettait de se voir comme un héros qui évitait les souffrances et les douleurs à d'autres, moins résistants. La seconde, c'est que ce poste social, au plus bas de l'échelle de reconnaissance, lui permettait de manipuler tout le monde, sans que personnes ne s'en doute ... qui prêtait attention à la tête de turc après l'avoir piétinée ?
   
Son histoire

  Robin Appelcott était fils d'une mère célibataire. Il n'a jamais connu son père, et perdit sa mère trop jeune pour avoir le temps d'en parler avec elle. Rétrospectivement, d'ailleurs, il n'était pas certain qu'elle même ait su de qui il était.
Sa mère était une fugueuse, une délinquante mineure ... et mineure ! Elle n'avait pas 17 ans, à sa naissance. Depuis avant celle-ci, elle passait sa vie de squat en communauté, de bande de marginaux en gang de zonards, vivant d'expédients et de petits délits. Sa grossesse lui avait servi à attendrir les uns et à gruger les autres, elle avait pris goût à la vie plus facile que procurait la pitié des gens bien pensants. C'est la meilleure raison qu'elle avait eu de garder l'enfant. Fille de réfugiés d'Allemagne de l'Est installés à Londres à la chute du Mur, elle gravitait surtout dans les alentours des pègres germano-slaves de la capitale.
Son manque flagrant d'amour maternel devait être assez sensible pour que les protecteurs qu'elle choisissait, même si elle les qualifiait plutôt de "petit-ami", n'aient aucun scrupule à cogner sur le bébé quand il pleurait ... ou même quand il ne pleurait pas. Cela aurait pu lui causer des problèmes avec les service sociaux de protection de l'enfance, si elle avait passé assez de temps quelque part pour qu'ils exigent de voir l'enfant. La seule fois où ça aurait pu se produire, heureusement pour elle, le tortionnaire avait été assez ivre et violent pour les blesser tous les deux. Robin avait trois ans, et l'homme l'avait battu si fort qu'il en avait fait une commotion cérébrale. Et c'était peut-être aussi la seule fois où Eva, sa mère, avait pris sa défense, assez pour en avoir les deux poignets cassés. L'affaire avait tellement de bruit que la Métropolitaine avait fini par intervenir, que l'homme avait été jugé, puis emprisonné, et que la victime avait finit par recevoir des dédommagements de la justice. Ses blessures ayant été suffisante pour qu'elle passe elle aussi pour une victime, et le pactole recueilli lui permettant de payer un petit loyer dans un foyer, personne n'avait jugé utile de lui retirer son enfant. Lequel enfant avait gardé des séquelles de l'affaire. L'hématome cérébral avait mis du temps à se résorber, suffisamment de temps pour que les tissus tendres de son jeune cerveau en soient affectés. Ainsi, dans certaine région de son encéphale, certaines connections synaptiques impromptues ont augmenté son sens logique, au détriment de son empathie. De plus, une déformation s'est produite dans certains canaux médullaires, créant une sorte de "tampon de réponse" aux signaux de la douleur. Bien entendu, tout ceci ne sera diagnostiqué que bien plus tard, qui aurait voulu payer pour faire passer un scanner et une IRM au bébé d'une marginale ? Toujours est-il que c'est à cette époque aussi que Robin "attrapa" son défaut de langue, au départ physique, du à une blessure à la bouche, mais qui resta par la suite, pour des raisons plus psychologiques.
Le "bon temps" au foyer dura presque un an, jusqu'à ce qu'Eva recommence à s'ennuyer (et que l'argent recommence à manquer, la prévoyance et l'envie de travailler n'étant pas les qualités principales de la jeune femme). Alors reprit la vie de bohème (ou de cavale, selon le point de vue). Il ne fallut guère plus d'un an avant que l'irréparable se produise. Robin avait atteint ses 5 ans, et était devenu un enfant froid et calculateur. "Un peu trop intelligent pour son propre bien" avait même dit un fois un "petit-ami", pensant l'enfant endormi.
Toujours est-il qu'ils se trouvaient dans un endroit que Robin ne connaissait pas, au second étage d'un entrepôt abandonné, dans une friche industrielle presque déserte, pas loin du fleuve. Il ne savait pas trop pourquoi sa mère l'avait trainé là, mais la présence de leurs rares affaires semblait indiquer qu'ils allaient encore une fois changer de "domicile". Il ne prêtait pas trop attention à la conversation, essayant de voir les bateaux sur la tamise, à travers la verrière fêlée et presque dépolie par la crasse. Il ne comprit que quelque chose allait de travers que lorsque le ton monta, subitement. Il ne tourna la tête qu'après avoir entendu sa mère pousser un cri, plus de surprise que de douleur, puis s'effondrer sur le sol. Le temps qu'il finisse son mouvement, l'homme auquel elle avait fait face finissait de se tourner, lui aussi, un regard étrange, presque halluciné, posé sur lui. L'enfant ne mis pas longtemps à comprendre, et tenta d'esquiver la gifle. Seulement, il n'était pas sportif, ni agile, et l'homme était remarquablement puissant. Le revers de main le cueillit en remontant, en plein déséquilibre, et le projeta en arrière, à travers la verrière fendillée du deuxième étage. Robin eut le temps de se voir mort, avant de s'évanouir sous la violence du choc. Les deux facteurs qui lui valurent de survivre furent la chance, et ... la chance ! D'abord, la chance d’atterrir sur un tas de vieux débris moisis de cartons ayant contenu de la mousse d'emballage, à moins de trente centimètres d'un conteneur métallique plein de vieilles pièces de moteur. Et ensuite de tomber presque aux pieds d'un agent de la Police Métropolitaine en train de courir après un petit dealer de rue qu'il savait n'avoir pas la moindre chance d'attraper. Malgré la promptitude de la demande de renforts, l'homme ne fut pas retrouvé et Eva mourut avant l'arrivée des secours.

Alors commença une lente descente aux enfers, encore pire que la vie de maltraitance qu'il avait connu. Après un relativement bref séjour à l’hôpital, il passa d'orphelinat en institution, de foyer en refuge. Par un manque flagrant de suivi des dossier, personne ne sembla remarquer que les résultats de chaque test d'intelligence donnait un score plus bas que le précédent, jusqu'à se stabiliser juste en dessous de la moyenne, mais à peine. Mais tout le monde avait pu constater que le petit Robin (qui détestait son prénom de fille) devenait presque immédiatement le souffre douleur de ses "camarades", le faisant passer par pas moins de onze établissements en quasiment deux ans. Jusqu'à sa rencontre avec un agent de CHERUB.


*   *   *


Il venait d'arriver à "Jours Heureux" et n'eût été sa froideur habituelle, il aurait surement souri à la bonne blague qui représentait le nom du foyer d’accueil. Il savait que celui-ci était en fait un lieu d'évaluation des services d'aide à l'enfance, pour avoir entendu l'assistante en parler à mi-voix au policier qui conduisait la voiture, le croyant endormi. Il avait compris qu'il allait lui falloir être prudent, entre les pensionnaires, pour la plupart gosses à problèmes, voir délinquants juvéniles, et l'administration, toujours attentive, à monter des dossiers pour une orientation future. L'un des risques qu'il courrait était de se retrouver dans un foyer à orientation psychiatrique, où il lui serait bien plus difficile de jouer son "rôle" sans se faire repérer. Mais le risque le plus grand était quand même qu'ici, les brimades risquaient d'être beaucoup plus terribles, beaucoup plus dangereuses, certains des enfants présents étant quand même des sociopathes en devenir. Malgré ses sept ans passés, il se savait plus frêle que la moyenne, et s'il ressentait moins la douleur que les autres, les blessures restaient réelles et aussi graves pour lui que pour tout un chacun. Il décida donc de commencer par faire profil bas, en jouant à cache cache avec les petites frappes en mal de divertissement, le temps pour lui de bien comprendre comment ça se passait ici, le plus dur des lieux où il ait du vivre jusqu'à présent. La première chose à faire, bien sur, fût de cacher son "trésor" et les deux feuille de papier à dessin, roulées, trouvèrent rapidement un refuge dans le pied métallique creux du bureau de ce qui était désormais sa chambre, à la faveur d'un instant de solitude qu'il réussit à grappiller.
Il identifia et classa aussi très rapidement les différents résidents du foyer. Les trois "Caïds", irréductibles ennemis,mais prêts à faire front contre les adultes, les deux ou trois "Gros Bras" de chacun d'entre eux, des tas de muscles (ou de graisse) sans trop de cervelle, prêts à suivre les ordres pour une miette de reconnaissance, et la chance de satisfaire leur sadismes sur tout être plus faible qu'eux. Il trouva vite aussi les "Souffre-Douleur", et voyant qu'ils étaient relativement âgés pour la faune locale, ne se sentit pas pressé d'endosser le rôle, ils pouvaient supporter encore un peu. Les identifier lui permit aussi de trouver les "Chevaliers", les immanquables redresseurs de tords, les vengeurs héroïques, les "sauveurs de pitits n'enfants". Sa plus grande surprise fût de constater que l'un d'entre eux devait avoir dix ans à peine, et ne rechignait pas à tenir tête et à se battre avec des monstres de trois ou quatre ans ses ainés et de surement deux fois son poids. Il s'en sortait d’ailleurs bien la plupart du temps. Il lui fallut plus de temps par contre pour débusquer les "Observateurs", ceux qui se tenaient à l'écart des groupes, qui étaient suffisamment confiants pour ne pas craindre les rodomontades de l'une ou l'autre bande, mais assez intelligents pour maintenir le status-quo et ne pas risquer une alliance contre eux.
Pourtant, au bout de quelques semaines à jouer à cache cache, à analyser le comportement de tous, il se rendit compte que l'un des résidents ne rentrait pas dans ses cases. Il devait avoir onze ou douze ans, semblait maussade, s'ennuyait ferme, ne jouait que rarement avec les autres,
sans que Robin ne l'ait jamais vu transpirer, ou même essoufflé, et ne semblait avoir d'yeux que pour le petit "Chevalier". Plus d'observations lui permirent même de constater que l'étrange garçon prenait un malin plaisir à provoquer des situations où l'enfant devait donner le meilleur de lui-même pour éviter un tabassage en règle.
Cela ressemblait à un test !
N'y tenant plus, Robin décida de provoquer la confrontation. L'occasion se présenta lors d'une soirée vidéo. L'étrange garçon, était sorti discrètement, surement pour aller aux toilettes. Robin lui laissa quelque secondes d'avance, et silencieux comme un chat, le suivi hors de la salle. Il examina les toilette du rez de chaussée, et ne le trouvant pas, décida d'aller voir à l'étage. WC vides, il poussa en direction des dortoirs, de plus en plus intrigué, et alors qu'il passait devant une pièce de rangement, toujours fermée à clef, il se senti attrapé par le bras, puis attiré dans le noir alors que le bruit de la porte se refermant résonna à ses oreilles comme la fermeture d'un sépulcre. Il n'eût pas peur, sentant son "rôle" le rattraper malgré lui. Il se sentit juste un peu moins fier quand il se rendit compte qu'il n'était pas seul dans le placard, qu'on ne l'avait pas juste poussé avant de fermer la porte et s'enfuir. Il garda le silence.

- Tu n'as pas peur ? murmura une voix à son oreille.

- Pourquoi z'aurais peur ? Tu serais bien bête de me faire mal à me faire crier et pleurer alors que t'es dans le même placard que moi, non ?

- Bien vu. Ceci dit, pourquoi me suis tu ? Il y a au moins deux semaines que tu m'observes, de loin, sans te faire remarquer, même si pense être le seul à l'avoir vu.

- Hmmm ... disons que ze suis curieux de savoir pourquoi TOI, tu suis et tu surveilles le petit blond des moineaux.

- Tiens donc, tu as aussi remarqué ça ? Pas mal, pas mal ...

Il y eût un déclic, et l'étrange garçon posa une surprenante lampe électrique, toute plate, sur l'un des bidons de produit d’entretien. L'air un peu ennuyé, il tendit à Robin un rouleau de papier que celui-ci reconnu au premier coup d'oeil. Il était en train de dérouler les feuilles quand l'autre garçon reprit la parole.


- Je dois t'avouer que ça aussi, ça m'intrigue. C'est toi qui les a fait ?

Un examen rapide de ses deux dessins avait suffit à tirer un de ses rares sourires à Robin, puis après avoir roulé les feuilles à nouveau, il les tendit au garçon.

- Tiens, ze sais pas ce que tu veux en faire, mais ça sera mieux que tes photos ... Et oui, c'est moi qui les ai fait, et donc, ze pourrai les refaire.

Son interlocuteur eût comme un hoquet, le regard faisant un aller retour entre Robin, souriant, et les papiers, si tentants.

- Comment tu le sais ? Je veux dire, pour les photos ?

- Facile, t'as posé des trucs lourds sur les coins, ça a laissé des marques dans la craie grasse ... Et si on arrêtait de tourner autour du pot ? T'es qui, en vrai ... ou t'es quoi ? Ze sais pertinemment que t'es plus futé que toute la racaille réunie en bas ensemble, et surement aussi qu'un bonne partie des adultes. Ze sais que tu te fais ssier, ici et à l'école, mais que t'arrive quand même  avoir des notes assez bonnes sans forcer pour que personne ne te demande plus. Ze sais aussi que tu fais des trucs pas humain, tu fais pas de sport, tu zoue presque jamais, mais les rares fois où tu te bouzes, t'es zamais fatigué ... TU TRANSPIRES MÊME PAS !

Robin porta les mains à sa bouche, surpris lui même par la véhémence qui l'avait poussé à hausser le ton. Au fur et à mesure de son réquisitoire, le sourire figé du garçon devant lui s'était détendu, puis peu à peu élargi.

- Tu sais quoi ? T'es toi-même pas banal comme môme ! Il se pourrait bien que j’aie pas complétement perdu mon temps, dans ce trou. Et on sais jamais, ta vie pourrait bien changer bientôt !



C'est ainsi que Robin fît la connaissance de CHERUB, avant de devenir Kevin.


Derrière l’écran
   Pseudo : Léo
   Age : vieux, beaucoup beaucoup plus que 18
   Comment nous as-tu connus ? Google est mon ami, pas vous ?
   Des remarques ? Code bon.
   


Dernière édition par Kevin Crowley le Sam 9 Jan - 13:23, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Kevin Crowley (fini)   Kevin Crowley (fini) EmptySam 9 Jan - 12:24

Bienvenue !!!

Ta fiche est agréable à lire, même s'il y a par ci par là des inversion de lettres du type "change" à la place de "chance".

Je n'ai pas vérifié le nombre de mots, mais à priori c'est bon.

Tu seras donc un t-shirt rouge. Plus ou moins arrivé en même temps que Gregory (mon perso)... Il nous faut un lien !

Bref, penses à trouver le moyen de faire un icône (100*100) qui te serviras pour être dans les fiches de liens des autres.
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MessageSujet: Re: Kevin Crowley (fini)   Kevin Crowley (fini) EmptySam 9 Jan - 13:15

Merci de ton accueil !

Je veux bien un lien avec Gregory ... pourquoi ne pas partager la même chambre ? (si c'est possible, avec un an d'écart ?)
Je t'avoue qu'après avoir lu sa fiche, je sais déjà que sa façon d'être sera inquiétante pour Kevin, mais ça peut s'avérer très drôle.

Pour l'icône 100 X 100, je demanderai à Ito si elle veut bien, elle est très forte ^^

Quand à de possibles fautes de frappe, si tu les retrouves, n'hésite pas à me les signaler, des fois, il y en a qui passent au travers des multiples relectures.
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MessageSujet: Re: Kevin Crowley (fini)   Kevin Crowley (fini) EmptySam 9 Jan - 14:01

Ala ala je me demande ce que vous feriez sans moi /PAN/

C'est très facile de faire une icône, soit on arrive directement à trouver une image aux bonnes dimensions sur internet, soit on s'occupe de redimensionner l'image soit même. Même sur paint, on peut le faire, c'est dire.

Mais comme je suis trop gentille, tiens, voilà une tite icône.


Code:
http://img15.hostingpics.net/pics/980573Kevin.png
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MessageSujet: Re: Kevin Crowley (fini)   Kevin Crowley (fini) EmptySam 9 Jan - 15:57


 
Félicitation, te voilà validé ! Quel bonheur, quel bonheur, tu es une si belle personne ! Et maintenant, tout le forum t'est ouvert, si c'est pas la classe ? Nous t'invitons tout particulièrement à aller faire ta demande de logement, histoire de ne pas dormir à la belle étoile, ainsi que ta fiche de relation, et ton dossier personnel, pour qu'on ne te perde pas de vue ! Alors, tu pourras enfin te lancer dans la grande aventure. Et si tu as besoin pour cela d'un petit coup de pouce, jette un œil aux demandes de rp


 
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