Monter dans l'avion lui avait été plutôt difficile mais il avait dormi dès sa ceinture bouclée. Arrivés en France, Mark avait été un peu apeuré par le bus car il n'en avait jamais pris de sa vie. Mais il s'était détendu très vite et avait regardé le paysage, les yeux émerveillés. Deux jours plus tard, il avait enfilé, avec l'application d'un enfant de deux ans qui s'habille tout seul pour la première, ses vêtements bien chauds, et puis s'était rué jusqu'au point de rendez vous, totalement euphorique à cause de la neige dans laquelle il n'avait pu s'empêcher de rouler plusieurs fois, de sorte qu'il en avait dans les cheveux et sur les épaules lorsqu'il s'était planté devant l'entraîneur, droit comme I. Ultra concentré.

Il connaissait ça les raquettes, il en avait déjà fait plusieurs fois... il croyait. Il avait lu avec fierté son nom sur les siennes et les avait mises puis s'était emparé du bâton portant également son nom. Son sac à dos lui paraissait tout léger tellement il pensait à autre chose. C'était à peine s'l avait retenu les informations, malheureusement. Il savait qu'il était en équipe avec quatre autres. Mais le principe du GPS lui échappait encore un peu. Il y avait un truc de ce style dans son sac, il s'était décidé à ne pas y toucher. En revanche, il avait déjà mangé un gateau pendant le speech, d'où la trace de chocolat au coin de sa bouche.

Mark sourit à une fille. Il l'avait déjà vue, et on venait de lui dire qu'elle était dans son équipe.
Une certaine Itô, il en était quasiment sûr. Content de lui, l'enfant se présenta.

Je suis Mark! Et toi tu es Itô?

Il attendait un peu des ordres. En fait. C'est qu'il était docile, Mark!

Par où c'est ?

Il s'était un peu raidi, prêt à la suivre où elle en donnerait la direction. Même si ça allait droit dans un ravin. Autant en profiter, pour une fois qu'il n'était pas trop distrait!

Gagné ! Mark était ravi d'avoir deviné et son grand sourire s'agrandit davantage, lui donnant l'air d'un genre de requin. Ses autres coéquipiers étaient trois; deux filles et un garçon. Le bleu ciel ne comprit pas pourquoi on le plaçait en avant dernier mais il n'y voyait pas de réel inconvénient. Il crapahuta donc jusqu'à derrière Robby, le garçon blond. Mark sessuya la bouche d'un revers de manche et tira sur le col de sa polaire: il avait chaud. Mais il commença à marcher en cadence avec les autres, essayant d'accorder ses pas à ceux de Robby pour une obscure raison (sans doute inexistante ) . Le bruit des raquettes sur la neige était apaisant, un peu trop calme pour Mark qui bouillonnait complètement. Il trébucha a plusieurs reprises, accélérant parfois sans s'en rendre compte.

Le parcours commençait par une légère côte, qui fut assez épuisante car ils n'avaient pas l'habitude, et que la neige était très fraîche et donc profonde. Ils marcherent une bonne demi heure , peut être même plus, lorsque Mark entendit soudainement un cri venant d'au delà d'eux. Il se raidit brusquement, se figeant (Lavender lui rentra dedans et pesta). Soudain un bruit inhabituel , sourd au début et de plus en plus fort, se rapprocha à toute allure .

- Cest...

Il chercha le mot dans sa tête un temps qui lui parut interminable, parce qu'il savait que ça serait un danger, mais il ne pouvait pas s'exprimer dessus. Finalement, il lacha les mots qui lui brûlaient la gorge:

- Quand la neige ! Elle tombe très vite parce qu'on a fait du bruit! Et c'est danger! Tu sais ?

Gordon avait grimper par une pente bien plus raide que celles du parcours pour rejoindre rapidement le pseudo campement à la moitié. Une fois au campement il déneigea une table de camping en plastique et une chaise. Il s'installa tranquillement posant sa radio sur la table ainsi que le récepteur des balises. Le premier groupe plus athlétique avançait bien, l'autre plus équilibré avançait plus lentement. Faut dire qu'il était composé de l'un des plus jeunes futurs agents opérationnels.

Dès le grondement, Gordon sauta sur ses pieds et vérifia de son poste d'observation d'où il provenait. Ses jumelles le portèrent sur une montagne d'où de la neige avalait la pente. Ses agents cherchèrent à le joindre. D'abord Itô puis Mike. Il répondit aux deux avec un ton qui se voulait calme :

C'est de l'autre côté de la vallée. Faites attention à la neige qui arrivera probablement jusqu'à notre secteur.

Gordon reposa sa radio et tendit un peu plus sa toile de tente de façon à protéger le réchaud à gaz et autre matériel pour le repas. Puis, lunettes de ski sur le nez et vêtements bien fermés, il retourna observer l'avalanche qui faisait un grondement de plus en plus sourd percé du craquement des arbres qui cédaient sous la pression.

Aaaaaa....vaaaaa....lannnncheuh.... Mark buvait les paroles d'Ito et de la voix grésillante de la radio. C'était cet homme; Gordon. Grand, avec des cheveux de feu! La valanche était donc plus loin ? Ailleurs ? Le tshirt bleu ciel se détendit, son coeur ralentit et ses yeux ne furent plus vitreux. Respirant profondément, il ne pouvait s'empêcher de ne pas être un peu crispé en entendant le bruit assourdissant de la neige qui se déversait dans la vallée voisine.

Leur marche repris avec dynamisme , peut être un peu moins qu'auparavant. La côte était plus abrupte quant à elle croissant à mesure que les enfants peinaient. Marcher dans la neige, raquettes ou non, était vraiment épuisant. Le petit garçon se mit donc à transpirer, son front perlant comme s'il s'était trouvé sur une île tropicale en pleine saison d'été. Incompréhensible pour lui qui avait pourtant un peu froid ! Leur parcours était de plus en plus compliqué et leur ascension rendue difficile par la neige qui s'était levée et leur fouettait le visage sans pitié. Endurant, le jeune Mark pouvait encore continuer bien longtemps. La petite Elain en revanche, se plaignait à coups de gémissements que le garçon trouva vite insupportables. Il jeta un regard en arrière à Lavender, haussant les sourcils d'un air excédé. Il lui sembla quelle partageait ses sentiments mais ce n'était pas le genre de chose que Mark percevait encore.

N'y tenant plus , le gamin fit quelque chose de puéril et idiot qui lui ressemblait peu: il poussa Robin qui trébucha contre sa soeur qui trébucha à son tour.

- Tais toi! ordonna-t-il dans un cri du coeur.

Alors qu'ils se trouvaient à la fin d'une montée, alors que tous étaient éprouvés, mais bientôt au sommet, c'était vraiment une idée stupide. Mais le garçon gérait mal sa colère. D'un revers de manche il essuya sa sueur et grimaça, vaguement farouche.

Le grondement de l'avalanche s'intensifia et se rapprocha davantage.

[Spoiler]Désolé du temps de réponse, c'est compliqué en ce moment! Et j'avoue avoir un peu de mal à répondre, j'essaie de mettre de la question mais je crois que je fais pas beaucoup avancer x) désolé encore ! [/color]

Il avait regardé les dominos avec une espèce de sourire cruel qui ne seyait pas du tout à son visage un peu émacié. Dommage, Itô ne tomba pas, elle. Robin s'était mis en colère, et , après s'être relevé couvert de neige s'était avancé menaçant. Mark serra les poings et le fusilla du regard: qu'il essaye. Derrière, Lavender semblait être d'accord avec lui, d'ailleurs Itô décida de les punir tous les deux. De quel droit, cette question n'effleura pas le gosse qui voulut braver du regard cette grise pourtant plus petite que lui mais finit par baisser les yeux. Peut-être qu'il n'aurait pas dû; Elain pleurait maintenant, et c'était pire. Pire encore le garçon devrait la porter sur son dos. Plein de mauvaise volonté il jeta son sac à l'autre future candidate au PEI. L'entraide, hein? Entraide ses fesses. "Sans faire exprès" il bouscula a nouveau Robin en le dépassant, dans le genre méchant coup d'épaule. Il souleva ensuite sans mal la petite morveuse , la cala contre sa hanche et se remit en marche.


Son cerveau grondait de colère si bien qu'il n'entendait, pour sa part, plus du tout l'avalanche. L'entraide hein! Mais pas question de s'excuser. Il n'en était pas au point de pincer la petite fille mechamment mais il l'ignorait avec superbe en tous cas. Elle n'était pas bien plus lourde que son sac, et soufflant comme un boeuf il se hissa au sommet. Là, il se laissa tomber les fesses dans la neige et, repoussant Elain sur le côté, se pencha à temps pour apercevoir la neige qui achevait sa folle course en secrasant contre un pic plus loin. Explosion neigeuse et mortelle. Pas de blessés. L'avalanche était définitivement finie. Il jeta un regard féroce à Itõ puis croisa les bras , les yeux fixés contre la vallée en contre bas. D'ici ils pouvaient apercevoir une petite hutte en bois: sûrement leur étape. Ayant déjà mangé un des gâteaux il décida de garder l'autre pour après.

Mark était vexé, ça ne faisait pas l'ombre d'un doute. Il attendait avec une impatience mal contenue qu'ils repartent, c'est à dire que ses pieds battaient dans la neige furieusement.

Il faut encore la porter longtemps?! demanda-t-il d'un ton condescendant sans adresser un regard à la concernée.

Le bleu ciel de bonne humeur semblait un lointain souvenir.
Et puis, les balades en raquettes, c'était pas si marrant que ça finalement.

De toute manière, Mark ne voulait plus non plus porter la petite blonde pleurnicharde. Le regard d'Itô ne le perça pas, sans doute qu'il ne le perçut pas. Il haussa les épaules et resta à fixer l'horizon sans broncher. Il réfléchissait un peu à ce qu'il avait fait et prenait conscience que ce n'était pas très bien. Le dernier regard qu'il posa sur la fillette était plus empreint de tristesse qu'autre chose. Il bredouilla un sourire timide avorté et se releva. La marche reprenait, il n'était pas fatigué. Juste, le soleil lui brûlait les yeux quelque chose d'assez incroyable alors il finit par quitter des yeux l'horizon et se reconcentrer sur ses pieds.

Très vite la hutte en bois qu'il avait aperçue de loin se trouva non loin. Il avait cru à un refuge mais constata bien vite qu'elle était vide, désertée, fracassée. Il poussa un soupir déçu, il se sentait trompé et encore plus malheureux. Doucereux le garçon reprit son chemin en faisant comme s'il n'avait pas hésité. Il ne faisait plus trop attention aux autres. A un moment il rattrapa Robin qui avait dérapé. Peut être que ça marquait leur reconciliation? Il n'en savait trop rien. Ils échangèrent quelques mots plus cordiaux. Mais enfin Mark put voir une tente plantée avec des piquets, à quelques cent mètres de dénivelé.

Il fronça les sourcils et continua, toujours battant.
Jusqu'à ce qu'il tombe dans une crevasse avec un terrible craquement et un grand hurlement.
Oups.

Gordon n'avait pas rater une miette du spectacle, radio en main prêt à répondre au moindre appel. Il avait appelé le chalet pour qu'il y ai quelqu'un qui aille vérifier les clôtures rapidement après la fin de l'avalanche dont on entendait le grondement au loin.

Le groupe de Mike arriva. Gordon les accueillit avec un sourire. Il leur dit de poser les sacs dans un coin au fond de l'abri formé par la toile de tente colorée. Puis après avoir déblayés ensemble un endroit suffisamment grand pour pouvoir manger tranquillement, Gordon et les plus vieux entamèrent la préparation du repas. Gordon chargea deux rouges de huit ans de surveiller l'arrivée du groupe qui manquait encore puisque la famille Asker arriva tranquillement.

La préparation du repas avançait bien. Un craquement suivit d'un cris retentit et les deux rouges débarquèrent en disant que l'un des bleus ciel de l'autre groupe était tombé dans une crevasse. Gordon attrapa son sac, une corde qui trainait et fonça en ligne droite dans la direction indiquée. Il vit rapidement le groupe d'agent. Le roux dévala la pente escarpée en jetant des coups d’œil inquiet au groupe qui s'organisait rapidement. À un moment il se stoppa complètement et observa Itô, reconnaissable à son t-shirt gris, et Elain, reconnaissable à sa taille, tirer avec un système de poulie rudimentaire une corde préalablement attachée au bleu ciel en danger que Gordon reconnu comme étant Mark. Un beau travail d'équipe. L'instructeur fit un léger sourire et remonta. Il fit aussi signe à Ewart qui l'avait suivit que s'était bon. De toute manière ce dernier avait aussi vu le travail des futurs agents et d'Itô.

Gordon et Ewart arrivèrent quelques minutes avant l'arrivée du groupe. Le temps de poser ce qu'il avait prit et regarder où en était le repas, Itô et les autres arrivèrent. Le roux avait aussi prit le soin au milieu de ses actions de rassurer tout le monde qui s'était retrouvé sous la surveillance de Zara. Il se plaça devant la tente, puis le groupe d'agents vint se placer devant lui. Il ne doutait pas de l'état d'épuisement de la plus jeune. Mais elle semblait tout de même déterminée. L'instructeur en chef fit un léger, très léger sourire.

Félicitation pour votre travail d'équipe à la crevasse. (il alla ébouriffer les cheveux d'Elain)Vous vous êtes bien débrouillé, même toi Elain... Bien, Itô, Mark, Robin, Lavander allez aidés Mike, Mary et Sara. Elain, tu peux te reposer à l'abri.

Gordon désigna l'endroit où les deux plus jeunes de l'autre équipe et les jeunes Asker s'étaient regroupés qui était aussi l'endroit où les sacs étaient entreposés.

Le repas fut enfin prêt et les quinze personnes mangèrent ensemble une soupe composée de lentilles, carottes et navets accompagnée de saucisses ayant cuit dans la soupe. Chacun mangea à sa faim et parlant avec les voisins, surtout de l'incident de la crevasse qui s'était formée à un endroit où déjà dix personnes étaient passées. L'instructeur en chef ne doutait pas qu'on en entendrait à nouveau parler au repas du soir.

Après avoir rangé le matériel qui avait servit pour le repas, tout les marcheurs purent reprendre la route. Gordon stoppa Itô et son groupe avant de s'agenouiller devant Elain. La gamine avait déjà bien marché et pas que. Il voulait donc lui demander si elle voulait continuer. Il avait demander à Zara et Ewart, s'il pouvait prendre Elain avec lui. Ils avaient donnés leur accord. Maintenant il fallait l'avis de la petite.

Alors, j'ai une idée à te proposer. Tu restes avec moi pour l'après-midi et on finira le parcours ensemble. Je porterais ton sac,  voire même toi si tu en as envie. Tu es libre de faire ce que tu veux. Continuer avec ton frère et les autres ou venir avec moi.

Spoiler:

Mark avait hurlé à pleins poumons, perdant tout contrôle de lui même (s'il en avait eu un jour) et toute mesure. Alors même qu'on le retenait par une main, il ne pouvait s'empêcher de se débattre et de hurler comme un possédé. Les autres membres de l'équipe le maintenaient, pourtant! Tous autant qu'ils étaient! A part peut-être Elain, mais il comprenait complètement. Elle était un morceau de fille, à son âge. Les larmes jaillissaient des yeux du bleu ciel, incontrôlables, lui brouillant la vue. L'injonction d'Itô de cesser de bouger lui parvint pourtant, et son cri cessa aussi brusquement qu'il avait fusé. Encore secoué de spasmes, Mark cessa de s'agiter, et put voir la nippone lui passer une corde autour du buste, au milieu de toute cette eau qui lui tombait des orbites.

Elle virevoltait, experte, et il comprit brutalement qu'elle était la véritable différence entre la jeune fille et lui: c'était une agente. Et oui, tout simplement! Dès lors, Mark fut débordant et tremblant de gratitude pour tous ses camarades, et encore plus lorsqu'ils arrivèrent enfin à le remonter. Il eut encore quelques sanglots, puis dit d'une voix blanche:

- M.. merci..

Ne tentant d'aucune façon d'échapper à l'étreinte, Mark serait bien resté là longtemps dans ce câlin impulsif, néanmoins, il restait encore du chemin à parcourir. Il avait eu le réconfort dont il avait besoin après une telle peur, à présent. Sereinement, mais encore un peu tremblotant, le garçon demi-sauvage reprit la route en compagnie des autres, si bien qu'ils arrivèrent vite à la tente où les attendaient les autres ainsi que l'instructeur, Gordon. Il fit la grimace aux félicitations, et marmonna sans doute quelque chose dans le genre qu'il aurait dû faire attention où il mettait les pieds, désolé, et ne se fit pas prier pour aller aider l'autre équipe. Au repas, il fut bien silencieux, et ce n'était pas si étonnant. Il put néanmoins bien remplir son estomac, ce qui lui procura une agréable sensation de chaleur.

Il fallait déjà repartir. Faire des choix.
Pour Elain. Mark s'écria de suite:

Elle peut rester avec nous! Elle est forte!

La petite regarda à tour de rôle tous les agents de son équipe, puis les adultes, et enfin son grand frère qui la fixait avec bienveillance et fierté. Finalement, elle pépia qu'elle n'était pas trop fatiguée et qu'elle voulait rester avec Robin. Pas si étonnant? Non!

L'équipe d'Itô repartit donc dans le froid et la neige.
Plus que la moitié à parcourir!

Mark était enfin détendu, marchant à pas aussi tranquilles qu'ils pouvaient l'être étant donnés leur accoutrement et les raquettes à ses pieds. Il ne paraissait plus pour le moins du monde ce garçon agacé et violent qu'il avait été quelques instants. La promenade reprenait son cours, tout allait bien, c'était formidable. Il avait presque oublié d'être sur ses gardes, mais c'était presque. Lorsqu'il sentit qu'Itô s'éloignait un peu de la piste, le bleu ciel se raidit d'un coup. Il continua à suivre mais son regard était devenu plus perçant, plus....

Il fit un bond en arrière.
Nul ne pouvait l'entendre mais son coeur battait soudain une chamade soutenue et totalement dingue. Il décortiquait chaque mouvement des lynx. Il n'avait pas du tout peur et fixait chacun des animaux à tour de rôle en se mordillant la lèvre.

La nature sauvage des bêtes l'enivrait un peu, et si la nippone songeait à retenir Elain, il n'y avait personne pour retenir l'agent Finch. Ce dernier s'était approché très lentement, à distance respectable. Mué par un instinct dont il ne pouvait se séparer; pas encore. On aurait cru qu'il allait se mettre à  feuler et bondit sur la bête... il ne fit pas ça. Soudain, il susurra :

Elle est blessée. On peut pas partir comme ça !

Se disant il avait tendu un bras en arrière pour attraper le poignet d'Itô, ce qui n'avait pas de franche utilité. Elle pouvait le sentir trembler à travers ce contact. On n'allait pas pouvoir déraciner Mark de sitôt.

HRP: